Budget participatif Ă©tudiant
Espace du budget participatif étudiant de l'Université de Bordeaux
Changements à "Création d’un verger urbain sur le campus Carreire"
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-Le collectif ACE (Action Climat Environnement) propose d’implanter un verger urbain d’environ 300 m2 avec un mode de culture biologique au niveau de l’espace vert situé entre les bâtiments de Sciences Pharmaceutiques, Espace Santé et les urgences adultes). Ce verger pourrait être implanté à côté du projet de micro-forêt. Un verger a un fort impact à la fois sur le cadre de vie, l’écosystème (lutte contre les îlots de chaleur urbains, augmentation de la biodiversité, captation du carbone, etc.), la santé (production saine et locale). Ils provoquent des moments de convivialité autour de leur plantation, des récoltes; ils permettent de sensibiliser les usagers à l’alternance des saisons, à la question d’une alimentation saine et locale, ou encore d’apprendre diverses techniques horticoles (taille ou greffe d’arbres). Cela permet aussi de favoriser la conservation et la diffusion de variétés anciennes et de créer un paysage comestible en ville. Le choix des espèces devra prendre en compte l’adaptabilité au changement climatique en cours. La plantation et l’entretien pourrait se faire sous forme participative avec les étudiants et personnel. Ce projet pourrait être une première étape vers un campus comestible.- +Le collectif ACE (Action Climat Environnement) propose d’implanter un verger urbain d’environ 300 m2 avec un mode de culture biologique au niveau de l’espace vert situé entre les bâtiments de Sciences Pharmaceutiques, Espace Santé et les urgences adultes. Ce verger pourrait être implanté à côté du projet de micro-forêt. Un verger a un fort impact à la fois sur le cadre de vie, l’écosystème (lutte contre les îlots de chaleur urbains, augmentation de la biodiversité, captation du carbone, etc.), la santé (production saine et locale). Ils provoquent des moments de convivialité autour de leur plantation, des récoltes; ils permettent de sensibiliser les usagers à l’alternance des saisons, à la question d’une alimentation saine et locale, ou encore d’apprendre diverses techniques horticoles (taille ou greffe d’arbres). Cela permet aussi de favoriser la conservation et la diffusion de variétés anciennes et de créer un paysage comestible en ville. Le choix des espèces devra prendre en compte l’adaptabilité au changement climatique en cours. La plantation et l’entretien pourrait se faire sous forme participative avec les étudiants et personnel. Ce projet pourrait être une première étape vers un campus comestible.
- Chiffrage :
- - 10 arbres à grand développement (pommiers par exemple), tuteurs, livraison : 1000 euros
- - Petite espèce (noisetiers, framboisier, etc), tuteurs, livraison : 1000 euros
- - Animation d’une journée pour la plantation : 340 euros
- - Total : 2340 euros
Champ d'application
- +2
Version crĂ©Ă©e Ă
13/12/2019 18:35