Forêt et arbre en ville
Dans le cadre de l'alliance Agir ensemble, structuration d'une communauté de pratiques et d'intérêts autour des forêts urbaines
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-<p><strong>Nom du projet : </strong>Qui a mangé mes chenilles ?</p><p><strong>Nom du porteur de projet :</strong> INRAe</p><p><strong>Description de l'action :</strong> « Qui a mangé mes chenilles » est un projet impulsé en 2017 par des scientifiques de l’INRAe, et de huit pays européens ayant lancé un appel aux enseignants et aux élèves afin de participer à un projet de science participative. Ce projet vise à affiner la connaissance du rôle des prédateurs sur le contrôle des dégâts d’insectes sur les arbres à l’échelle continentale. Le principe est le suivant : des élèves fabriquent des chenilles en pâte à modeler et fil de fer, qu’ils fixent au printemps sur une espèce d’arbre définie. En attaquant ces leurres, les prédateurs laisseront des traces de bec, de dents ou de mandibules. Après deux semaines, puis, après un mois, les élèves comptent les traces des prédateurs. Par ailleurs, ils envoient quelques feuilles au responsable du projet en France, pour analyse de leur composition chimique et de l’ampleur de l’attaque par les insectes. Avec l’aide des élèves de différents pays, il donc possible de comparer les défenses chimiques, les attaques des insectes et les actions des prédateurs indépendamment du climat, et ceci du sud au nord de l’Europe. </p><p><strong>Souhait de collaboration (formation, sciences citoyennes, expertise scientifique, terrain d'expérimentation, etc.) : </strong>L’université souhaite faire de la forêt expérimentale de Floirac un terrain d’expérimentation ou <em>living lab</em>, ouvert sur le territoire, idéal pour développer des projets de sciences participatives au sein duquel le projet « Qui a mangé mes chenilles ? », présenté au cours des échanges de l’atelier Agir Ensemble « Arbres et forêts urbaines, exemple de la Forêt expérimentale, de l'écophysiologie aux perspectives pour l’aménagement du territoire » du 27 avril 2021 par Sylvain Delzon, directeur de recherche en écologie forestière à l'UMR Biogeco, s’inscrit parfaitement. La forêt de Floirac pourrait donc contribuer au développement de ce projet et présenter une véritable opportunité de diffusion des connaissances sur son territoire. </p><p><br></p><p>Que pensez-vous de cette proposition ? Faites le nous savoir via l'espace commentaires !</p>- +<p><strong>Nom du projet : </strong>Qui a mangé mes chenilles ?</p><p><strong>Nom du porteur de projet :</strong> Bastien Castagneyrol, INRAe</p><p><strong>Description de l'action :</strong> <a href="https://www.inrae.fr/actualites/qui-mange-mes-chenilles-appel-aux-ecoles-projet-science-participative" target="_blank">« Qui a mangé mes chenilles »</a> est un projet impulsé en 2017 par des scientifiques de l’INRAe, et de huit pays européens ayant lancé un appel aux enseignants et aux élèves afin de participer à un projet de science participative. Ce projet vise à affiner la connaissance du rôle des prédateurs sur le contrôle des dégâts d’insectes sur les arbres à l’échelle continentale. Le principe est le suivant : des élèves fabriquent des chenilles en pâte à modeler et fil de fer, qu’ils fixent au printemps sur une espèce d’arbre définie. En attaquant ces leurres, les prédateurs laisseront des traces de bec, de dents ou de mandibules. Après deux semaines, puis, après un mois, les élèves comptent les traces des prédateurs. Par ailleurs, ils envoient quelques feuilles au responsable du projet en France, pour analyse de leur composition chimique et de l’ampleur de l’attaque par les insectes. Avec l’aide des élèves de différents pays, il donc possible de comparer les défenses chimiques, les attaques des insectes et les actions des prédateurs indépendamment du climat, et ceci du sud au nord de l’Europe. </p><p><strong>Souhait de collaboration (formation, sciences citoyennes, expertise scientifique, terrain d'expérimentation, etc.) : </strong>L’université souhaite faire de la forêt expérimentale de Floirac un terrain d’expérimentation ou <em>living lab</em>, ouvert sur le territoire, idéal pour développer des projets de sciences participatives, tels que le projet « Qui a mangé mes chenilles? ». Des écoliers pourraient ainsi participer à des projets scientifiques autour de la préservation de la biodiversité.</p><p><br></p><p><br></p>
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04/06/2021 15:59